Here is the work done for version 0.7 of IWLA (Intelligent Web Log Analyzer witten in Python) since one year and a half :
Core
Plugins
HTML
Config
A demo instance (for forge.soutade.fr) is available here
]]>Here is the work done for version 0.7 of IWLA (Intelligent Web Log Analyzer witten in Python) since one year and a half :
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]]>```Shell
sudo dd if=SPL of=/dev/sdX bs=1k seek=1 conv=sync sudo dd if=u-boot.img of=/dev/sdX bs=1k seek=69 conv=sync ```
Then, I wanted to try to install a Debian distribution in stock version (with "nothing" from SolidRun) for an easier maintenance.
My SDCard partitioning looks like (partitioned with gparted) :
On the main partition, I downloaded generic netboot console install from Debian server (netboot.tar.gz) and uncompress all files in the main partition. But I think it's better to put all in a directory named boot. Then put it in my Cubox and start to install using serial console.
```Shell
screen /dev/ttyUSB0 115200 ```
Everything went fine, except that the image is configured for old stable release. So, I have to migrate to stable one (and don't forgot to remove installation files !).
When all was installed, I tried to put a USB key, but nothing happened... USB seems to work :
```Shell
lsusb Bus 002 Device 001: ID 1d6b:0002 Linux Foundation 2.0 root hub Bus 001 Device 001: ID 1d6b:0002 Linux Foundation 2.0 root hub
```
After looking for kernel logs for a while (and a bit despairs), I found the solution : Debian compile its kernel with only few drivers linked. Most of them are in modules (located in /lib/modules/kernelname). And the one missing is USB PHY driver phy-mxs-usb ! In my main server, I had it compiled because I use target imx6/7.
So, then simplest way to test is :
```Shell
sudo modprobe phy-mxs-usb ```
And for automatic loading at boot time :
```Shell
sudo echo phy-mxs-usb >> /etc/modules ```
I also added tun, dm-mod and dm-crypt.
]]>```Shell
sudo dd if=SPL of=/dev/sdX bs=1k seek=1 conv=sync sudo dd if=u-boot.img of=/dev/sdX bs=1k seek=69 conv=sync ```
Then, I wanted to try to install a Debian distribution in stock version (with "nothing" from SolidRun) for an easier maintenance.
My SDCard partitioning looks like (partitioned with gparted) :
On the main partition, I downloaded generic netboot console install from Debian server (netboot.tar.gz) and uncompress all files in the main partition. But I think it's better to put all in a directory named boot. Then put it in my Cubox and start to install using serial console.
```Shell
screen /dev/ttyUSB0 115200 ```
Everything went fine, except that the image is configured for old stable release. So, I have to migrate to stable one (and don't forgot to remove installation files !).
When all was installed, I tried to put a USB key, but nothing happened... USB seems to work :
```Shell
lsusb Bus 002 Device 001: ID 1d6b:0002 Linux Foundation 2.0 root hub Bus 001 Device 001: ID 1d6b:0002 Linux Foundation 2.0 root hub
```
After looking for kernel logs for a while (and a bit despairs), I found the solution : Debian compile its kernel with only few drivers linked. Most of them are in modules (located in /lib/modules/kernelname). And the one missing is USB PHY driver phy-mxs-usb ! In my main server, I had it compiled because I use target imx6/7.
So, then simplest way to test is :
```Shell
sudo modprobe phy-mxs-usb ```
And for automatic loading at boot time :
```Shell
sudo echo phy-mxs-usb >> /etc/modules ```
I also added tun, dm-mod and dm-crypt.
]]>L'été 2023 fut un moment charnière quant à l'issue du conflit, avec la grande offensive Ukrainienne. Offensive avec des soldats expérimentés et entraînés, mais en sous-nombre, sans maîtrise du ciel ni du champs profond, et face à de solides fortifications défensives. Quelques tests de résistance ont été réalisés le long de la ligne de front avant une première percée au sud de Zaporijia, et puis plus rien... Plus rien ou presque, car les services spéciaux réalisent régulièrement quelques exploits en territoire occupé : élimination de gradés, destructions de bâtiment militaires (qui sont mis en scène non sans une pointe d’orgueil), destructions d'infrastructures et même la jonction de la rive gauche du Dniepr. Ajouté à cela, l'envoie régulier de drones explosifs en territoire Russe afin de rappeler à la population qu'elle est engagée dans une guerre (et pas une opération spéciale réservée aux militaires), mais également disperser les moyens d'interception ennemi. D'ailleurs, si l'Ukraine communique beaucoup sur les pertes ennemies, les chiffres de ses propres pertes sont tenus secret défense.
Face à cet échec, le commandement Russe est passé à l'offensive (et inversement l'Ukraine en position défensive). Arguant d'une nette supériorité numérique, malgré des soldats beaucoup moins bien aguerris, les assauts du côté d'Avdïivka sont quotidiens. Ailleurs sur la ligne de front, c'est l'artillerie qui est de sortie avec un pilonnage régulier des deux côtés. Ce bras de fer tourne à l'avantage de la Russie qui déploie des moyens presque illimités. D'autant plus que les "élections" présidentielles vont se dérouler en mars. Après avoir modifié la constitution, éliminé tous ses adversaires politiques (dont le plus sérieux Alexeï Navalny, prisonnier dans une colonie pénitentiaire proche du cercle arctique) et muselé toute protestation populaire, il ne fait aucun doute que Vladimir Poutine sera ré élu, d'autant plus que les Russes eux-mêmes ne sont pas vraiment prompt à aller voter. Dans cette perspective présidentielle, il est important pour le pouvoir d'offrir à l'opinion publique une victoire militaire, d'où l'intensification des combats depuis le début de l'année, même si le prix à payer en terme de vies humaines et colossal.
Quel que soit le sort d'Avdïivka, l'Ukraine n'est actuellement pas en position de négocier autre chose qu'un cessez le feu avec conservation des frontières. Mais cela ne fait pas partie des objectif du gouvernement de Volodymyr Zelensky. Avec la récente nomination d'Oleksandr Syrsky au poste de commandant en chef des forces armées, le président a clairement une volonté de réaliser une seconde offensive cet été (et probablement sa dernière chance de reconquérir ses territoires). D'où le récent élargissement de la mobilisation militaire, afin de préparer au mieux les futurs soldats appelés à combattre. Soldats qui seront forcément moins performants que la première vague (dont l'état major peine à relever). Ainsi, l'offensive est autant vouée à l'échec que la première si l'Ukraine ne dispose pas d'avantage technologique sur son adversaire. Donc, sans le soutien occidental, avec notamment des missiles longue portée, ainsi que des moyens de reprendre le contrôle du ciel (avions de combat), la défaite est déjà actée. De son côté, l'état major mise beaucoup sur les technologies de drones pour pallier à son infériorité.
Du côté du kremlin, les étoiles semblent s'aligner pour Vladimir Poutine avec les futures élections présidentielles Américaines. Comme à son habitude, l'ingérence et la désinformation Russe tourne à plein régime pour faire monter chez les Républicains un mouvement de contestation face aux milliards dépensés dans un conflit lointain. Mieux encore avec l'imbécile utile qu'est Donald Trump, qui a eu des liens étroits avec des ressortissants Russes lors de sa dernière campagne, et qui jette de l'huile sur le feu à tout va, voyant dans ce conflit une faille béante lui permettant de briguer un second mandat face à un adversaire qui a déjà un pied dans la tombe. Il n'y a pas non plus de lien officiel, mais le conflit entre Israël et le Hamas (proche de l'Iran, lui même proche de la Russie) est une autre épine dans le pied des alliés qui doivent ré orienter tout ou partie de leur effort au Moyen Orient.
Reste l'Union Européenne, qui ne s'engage pas (pour le moment) totalement, mais dont le soutien est fondamental. D'autant plus avec la montée globale de l'extrême droite, signe évident des multiples fractures de notre époque et de son contexte morose à tous les niveaux. Comparé aux autres puissances mondiales, il est forcément plus difficile de s'entendre dans une Europe multilatérale, multiculturelle, où chaque pays défend des intérêts parfois différents. La Hongrie avec Viktor Orban, dont la politique enfreint beaucoup de règles, en est le parfait exemple. Idem au niveau de l'Otan avec la Turquie de Recep Tayyip Erdoğan, qui, comme une bonne partie de l'Asie, tire profit de ce conflit en jouant sur plusieurs tableaux à la fois. Car, malgré les importantes sanctions internationales, l'économie Russe tient le coup dans sa globalité. Pourtant, je ne suis pas sûr qu'une économie de guerre soit très profitable à la population en général. Les chemins qui étaient autrefois directs entre l'Europe et la Russie passent désormais par des intermédiaires, mais l'industrie Russe continue d'être alimentée. Elle utilisera, à défaut, du matériel Iranien ou Nord Coréen, eux aussi sous le coup de sanctions internationales depuis de nombreuses années...
Il serait ainsi facile de se décourager, ou de rester indifférent, surtout quand l'on n'est pas directement touché par ce conflit. Mais dans ce cas, il est peut-être bon de se rappeler pourquoi dans chaque commune Française, il y a une stèle avec comme inscription majuscule 1914-1918. Abandonner le peuple Ukrainien, c'est abandonner nos idéaux de justice et de liberté, c'est se renfermer sur nous-même jusqu'à ce que, un jour, peut-être, les troupes blanc-bleu-rouge se retrouvent sur nos propres terres. Abandonner l'Ukraine, c'est abandonner tous les peuples qui souffrent ou qui souffriront d'un conflit majeur avec leur voisin, Taïwan en tête. Abandonner l'Ukraine, c'est signifier au monde entier que l'Occident a perdu.
D'ici trois mois, ce seront les élections Européennes. L'occasion de décider de l'avenir des quelques 450 millions de personnes vivants dans l'Union Européenne, à travers 720 euro députés. L'occasion de décider d'une Europe forte et unie, qui crois en un avenir commun et en ses valeurs fondatrices. L'occasion de ne pas abandonner l'Ukraine face à ceux qui prônent le repli identitaire et le chacun pour soi.
Edit: Les troupes de défense Ukrainienne se sont retirées d’Avdïivka le 17 février.
PS: France TV diffuse la série franco-germano-belge Parlement qui nous plonge dans les entrailles du fonctionnement du parlement Européen à travers Samy, jeune assistant parlementaire fraîchement élu. À la fois drôle et instructive, elle permet de mieux nous rendre compte de nos institutions, de ses pouvoirs, des jeux politiques, mais aussi de ses limites.
]]>L'été 2023 fut un moment charnière quant à l'issue du conflit, avec la grande offensive Ukrainienne. Offensive avec des soldats expérimentés et entraînés, mais en sous-nombre, sans maîtrise du ciel ni du champs profond, et face à de solides fortifications défensives. Quelques tests de résistance ont été réalisés le long de la ligne de front avant une première percée au sud de Zaporijia, et puis plus rien... Plus rien ou presque, car les services spéciaux réalisent régulièrement quelques exploits en territoire occupé : élimination de gradés, destructions de bâtiment militaires (qui sont mis en scène non sans une pointe d’orgueil), destructions d'infrastructures et même la jonction de la rive gauche du Dniepr. Ajouté à cela, l'envoie régulier de drones explosifs en territoire Russe afin de rappeler à la population qu'elle est engagée dans une guerre (et pas une opération spéciale réservée aux militaires), mais également disperser les moyens d'interception ennemi. D'ailleurs, si l'Ukraine communique beaucoup sur les pertes ennemies, les chiffres de ses propres pertes sont tenus secret défense.
Face à cet échec, le commandement Russe est passé à l'offensive (et inversement l'Ukraine en position défensive). Arguant d'une nette supériorité numérique, malgré des soldats beaucoup moins bien aguerris, les assauts du côté d'Avdïivka sont quotidiens. Ailleurs sur la ligne de front, c'est l'artillerie qui est de sortie avec un pilonnage régulier des deux côtés. Ce bras de fer tourne à l'avantage de la Russie qui déploie des moyens presque illimités. D'autant plus que les "élections" présidentielles vont se dérouler en mars. Après avoir modifié la constitution, éliminé tous ses adversaires politiques (dont le plus sérieux Alexeï Navalny, prisonnier dans une colonie pénitentiaire proche du cercle arctique) et muselé toute protestation populaire, il ne fait aucun doute que Vladimir Poutine sera ré élu, d'autant plus que les Russes eux-mêmes ne sont pas vraiment prompt à aller voter. Dans cette perspective présidentielle, il est important pour le pouvoir d'offrir à l'opinion publique une victoire militaire, d'où l'intensification des combats depuis le début de l'année, même si le prix à payer en terme de vies humaines et colossal.
Quel que soit le sort d'Avdïivka, l'Ukraine n'est actuellement pas en position de négocier autre chose qu'un cessez le feu avec conservation des frontières. Mais cela ne fait pas partie des objectif du gouvernement de Volodymyr Zelensky. Avec la récente nomination d'Oleksandr Syrsky au poste de commandant en chef des forces armées, le président a clairement une volonté de réaliser une seconde offensive cet été (et probablement sa dernière chance de reconquérir ses territoires). D'où le récent élargissement de la mobilisation militaire, afin de préparer au mieux les futurs soldats appelés à combattre. Soldats qui seront forcément moins performants que la première vague (dont l'état major peine à relever). Ainsi, l'offensive est autant vouée à l'échec que la première si l'Ukraine ne dispose pas d'avantage technologique sur son adversaire. Donc, sans le soutien occidental, avec notamment des missiles longue portée, ainsi que des moyens de reprendre le contrôle du ciel (avions de combat), la défaite est déjà actée. De son côté, l'état major mise beaucoup sur les technologies de drones pour pallier à son infériorité.
Du côté du kremlin, les étoiles semblent s'aligner pour Vladimir Poutine avec les futures élections présidentielles Américaines. Comme à son habitude, l'ingérence et la désinformation Russe tourne à plein régime pour faire monter chez les Républicains un mouvement de contestation face aux milliards dépensés dans un conflit lointain. Mieux encore avec l'imbécile utile qu'est Donald Trump, qui a eu des liens étroits avec des ressortissants Russes lors de sa dernière campagne, et qui jette de l'huile sur le feu à tout va, voyant dans ce conflit une faille béante lui permettant de briguer un second mandat face à un adversaire qui a déjà un pied dans la tombe. Il n'y a pas non plus de lien officiel, mais le conflit entre Israël et le Hamas (proche de l'Iran, lui même proche de la Russie) est une autre épine dans le pied des alliés qui doivent ré orienter tout ou partie de leur effort au Moyen Orient.
Reste l'Union Européenne, qui ne s'engage pas (pour le moment) totalement, mais dont le soutien est fondamental. D'autant plus avec la montée globale de l'extrême droite, signe évident des multiples fractures de notre époque et de son contexte morose à tous les niveaux. Comparé aux autres puissances mondiales, il est forcément plus difficile de s'entendre dans une Europe multilatérale, multiculturelle, où chaque pays défend des intérêts parfois différents. La Hongrie avec Viktor Orban, dont la politique enfreint beaucoup de règles, en est le parfait exemple. Idem au niveau de l'Otan avec la Turquie de Recep Tayyip Erdoğan, qui, comme une bonne partie de l'Asie, tire profit de ce conflit en jouant sur plusieurs tableaux à la fois. Car, malgré les importantes sanctions internationales, l'économie Russe tient le coup dans sa globalité. Pourtant, je ne suis pas sûr qu'une économie de guerre soit très profitable à la population en général. Les chemins qui étaient autrefois directs entre l'Europe et la Russie passent désormais par des intermédiaires, mais l'industrie Russe continue d'être alimentée. Elle utilisera, à défaut, du matériel Iranien ou Nord Coréen, eux aussi sous le coup de sanctions internationales depuis de nombreuses années...
Il serait ainsi facile de se décourager, ou de rester indifférent, surtout quand l'on n'est pas directement touché par ce conflit. Mais dans ce cas, il est peut-être bon de se rappeler pourquoi dans chaque commune Française, il y a une stèle avec comme inscription majuscule 1914-1918. Abandonner le peuple Ukrainien, c'est abandonner nos idéaux de justice et de liberté, c'est se renfermer sur nous-même jusqu'à ce que, un jour, peut-être, les troupes blanc-bleu-rouge se retrouvent sur nos propres terres. Abandonner l'Ukraine, c'est abandonner tous les peuples qui souffrent ou qui souffriront d'un conflit majeur avec leur voisin, Taïwan en tête. Abandonner l'Ukraine, c'est signifier au monde entier que l'Occident a perdu.
D'ici trois mois, ce seront les élections Européennes. L'occasion de décider de l'avenir des quelques 450 millions de personnes vivants dans l'Union Européenne, à travers 720 euro députés. L'occasion de décider d'une Europe forte et unie, qui crois en un avenir commun et en ses valeurs fondatrices. L'occasion de ne pas abandonner l'Ukraine face à ceux qui prônent le repli identitaire et le chacun pour soi.
Edit: Les troupes de défense Ukrainienne se sont retirées d’Avdïivka le 17 février.
PS: France TV diffuse la série franco-germano-belge Parlement qui nous plonge dans les entrailles du fonctionnement du parlement Européen à travers Samy, jeune assistant parlementaire fraîchement élu. À la fois drôle et instructive, elle permet de mieux nous rendre compte de nos institutions, de ses pouvoirs, des jeux politiques, mais aussi de ses limites.
]]>Enchanté par l'édition précédente (et première édition) du RoureTrail, je remet le couvert cette année ! Ce sera le dimanche 24 mars 2024 avec la même formule : 9km, 16km, rando 9km qui proposent de monter jusqu'au camp Romain situé au dessus du village du Rouret, en foulant une multitude de surfaces différentes (goudron, pierres, sentiers), le tout avec des bénévoles au top et au profit de l'association des parent d'élèves du Rouret (afin de financer des projets et du matériel scolaire). Cerise sur le gâteau : une bière offerte à tous les participants.
La 20e édition de l'ascension du col de Vence est prévue le dimanche 5 mai 2024. 12km à 6% de pente moyenne (620m de dénivelé positif), un vrai défi entre mer et montagne. Après le forfait de l'an passé, j'espère bien pouvoir y participer cette année !
]]>Enchanté par l'édition précédente (et première édition) du RoureTrail, je remet le couvert cette année ! Ce sera le dimanche 24 mars 2024 avec la même formule : 9km, 16km, rando 9km qui proposent de monter jusqu'au camp Romain situé au dessus du village du Rouret, en foulant une multitude de surfaces différentes (goudron, pierres, sentiers), le tout avec des bénévoles au top et au profit de l'association des parent d'élèves du Rouret (afin de financer des projets et du matériel scolaire). Cerise sur le gâteau : une bière offerte à tous les participants.
La 20e édition de l'ascension du col de Vence est prévue le dimanche 5 mai 2024. 12km à 6% de pente moyenne (620m de dénivelé positif), un vrai défi entre mer et montagne. Après le forfait de l'an passé, j'espère bien pouvoir y participer cette année !
]]>Nous vivons clairement dans l'ère de l'image et des réseaux : instantanéité, visuel et connexion. Cette ère arrivera bientôt à son terme avec l'avènement de l'intelligence artificielle génératrice, capable de produire des œuvres quasiment aussi réalistes que la réalité elle-même (elle est donc en passe de la supplanter). Il faut dire que depuis l'arrivée de l'iPhone, le matériel photographique (conventionnel ou miniaturisé dans un téléphone), ainsi que les outils de retouche numérique ont énormément progressé. Pour un coût acceptable, il est possible d'acquérir du matériel performant et obtenir un rendu professionnel pour peu qu'on y passe un peu de temps. D'ailleurs, parmi le flot continu de contenu poussé sur les méga serveurs des réseaux sociaux, certains sont de très grande qualité.
Le site L'Oeil de la photographie propose de faire un pas de côté. L'objectif est d'être la référence de l'actualité photographique à travers le monde. Non d'un point de vue technique (comme Les Numériques), mais d'un point de vue artistique. Cette actualité ne se trouve pas sur les réseaux, mais bel et bien dans les musées et les galeries à travers différentes expositions. L'occasion donc de mettre en valeur le travail de photographes professionnels qui œuvrent de manière plus "traditionnelle". Il propose également des rétrospectives ainsi que des interviews. Le tout, sans se limiter à un style particulier, ni même en boudant les nouveaux entrants sur ce marché. La preuve en est avec la récente interview d'Ael Pagny. Pour faire face à ses coûts de fonctionnement, le site (traduit entièrement en anglais et français) requiert un abonnement de 8€/mois.
La photographie est un domaine extrêmement vaste. Il est donc enrichissant pour tous les professionnels et même les amateurs passionnés de s'abreuver des travaux passés et présents afin de développer son propre style et de se sortir ainsi des modèles pré fabriqués présents en abondance sur la toile. Il est d'ailleurs amusant de constater à quel point les créations des "véritables" artistes sortent du lot, même quand elles sont simples. Et inversement, les photos d'un artiste reconnu ne sont pas forcément intéressantes.
]]>Nous vivons clairement dans l'ère de l'image et des réseaux : instantanéité, visuel et connexion. Cette ère arrivera bientôt à son terme avec l'avènement de l'intelligence artificielle génératrice, capable de produire des œuvres quasiment aussi réalistes que la réalité elle-même (elle est donc en passe de la supplanter). Il faut dire que depuis l'arrivée de l'iPhone, le matériel photographique (conventionnel ou miniaturisé dans un téléphone), ainsi que les outils de retouche numérique ont énormément progressé. Pour un coût acceptable, il est possible d'acquérir du matériel performant et obtenir un rendu professionnel pour peu qu'on y passe un peu de temps. D'ailleurs, parmi le flot continu de contenu poussé sur les méga serveurs des réseaux sociaux, certains sont de très grande qualité.
Le site L'Oeil de la photographie propose de faire un pas de côté. L'objectif est d'être la référence de l'actualité photographique à travers le monde. Non d'un point de vue technique (comme Les Numériques), mais d'un point de vue artistique. Cette actualité ne se trouve pas sur les réseaux, mais bel et bien dans les musées et les galeries à travers différentes expositions. L'occasion donc de mettre en valeur le travail de photographes professionnels qui œuvrent de manière plus "traditionnelle". Il propose également des rétrospectives ainsi que des interviews. Le tout, sans se limiter à un style particulier, ni même en boudant les nouveaux entrants sur ce marché. La preuve en est avec la récente interview d'Ael Pagny. Pour faire face à ses coûts de fonctionnement, le site (traduit entièrement en anglais et français) requiert un abonnement de 8€/mois.
La photographie est un domaine extrêmement vaste. Il est donc enrichissant pour tous les professionnels et même les amateurs passionnés de s'abreuver des travaux passés et présents afin de développer son propre style et de se sortir ainsi des modèles pré fabriqués présents en abondance sur la toile. Il est d'ailleurs amusant de constater à quel point les créations des "véritables" artistes sortent du lot, même quand elles sont simples. Et inversement, les photos d'un artiste reconnu ne sont pas forcément intéressantes.
]]>Just two little fixes after a user reported an issue downloading his ebook from Kobo. Unfortunately it doesn't fix his issue as it's more a problem with new cloudflare firewall setup by Kobo.
Changes :
You can find source code and binaries in my forge
]]>Just two little fixes after a user reported an issue downloading his ebook from Kobo. Unfortunately it doesn't fix his issue as it's more a problem with new cloudflare firewall setup by Kobo.
Changes :
You can find source code and binaries in my forge
]]>Focus sur un petit fruit méconnu : l'Argouse. l'Argouse est le fruit de l'Argousier. Il s'agit d'une petite baie orange qui arrive à maturité à la fin de l'automne. Elle a un goût d'agrume (orange) très acidulé. Comme beaucoup de fruits hivernaux et acides, elle possède une forte concentration en acide ascorbique, plus communément appelé vitamine C. Petit aparté : l'acide ascorbique est utilisé à outrance par les industriels de l'agro-alimentaire pour ses propriétés anti-oxydantes. Autre information amusante : pour ceux qui auraient un excès de vitamine C, les urines seront colorées en jaune fluo ! Nous somme donc en pleine saison de l'Argouse, plus souvent consommé sous forme de jus tonifiant. Il est conseillé d'en prendre une cuillère à soupe à jeun le matin en tant que complément alimentaire naturel. Du fait de son acidité, elle peut-être diluée dans un peu d'eau. Attention cependant à privilégier la récolte de l'année pour plus d'efficacité. Outre sa grande concentration en vitamine C, l'avantage est que l'Argousier est endémique (notamment dans les Alpes du sud où la production a repris) et rustique (c'est une des premières variétés à avoir recolonisé les sols après la dernière grande aire glacière. Elle favorise également l'enrichissement des sols), donc plus besoin d'importer des oranges d'Amérique ! Une cure de jus d'Argousier permettra ainsi de lutter contre la grippe qui sévit et qui est particulièrement contagieuse cette année (expérience oblige). Pour les becs sucrés, on peut également trouver des confitures, marmelades, sirops, voire liqueurs d'Argouses.
Présent sur tout le pourtour méditerranéen, l'arbousier n'est pas le cousin de l'argousier ! Il produit également à la fin de l'automne des petits fruits rouge comestibles et légèrement acidulés bien qu'un peu plus sucrés. À consommer avec modération du fait de sa légère toxicité !
Restons dans l'acidité avec le jus de citron. Après les fêtes et tous les excès de la fin d'année, mais aussi de manière générale, un bon moyen de drainer le foie est de faire une cure de jus de citron. 1/2 jus de citron jaune (dilué ou non) le matin à jeun pendant 10 jours, 15 minutes avant de prendre le petit déjeuner. Il faut le presser minute pour éviter son oxydation !
]]>Focus sur un petit fruit méconnu : l'Argouse. l'Argouse est le fruit de l'Argousier. Il s'agit d'une petite baie orange qui arrive à maturité à la fin de l'automne. Elle a un goût d'agrume (orange) très acidulé. Comme beaucoup de fruits hivernaux et acides, elle possède une forte concentration en acide ascorbique, plus communément appelé vitamine C. Petit aparté : l'acide ascorbique est utilisé à outrance par les industriels de l'agro-alimentaire pour ses propriétés anti-oxydantes. Autre information amusante : pour ceux qui auraient un excès de vitamine C, les urines seront colorées en jaune fluo ! Nous somme donc en pleine saison de l'Argouse, plus souvent consommé sous forme de jus tonifiant. Il est conseillé d'en prendre une cuillère à soupe à jeun le matin en tant que complément alimentaire naturel. Du fait de son acidité, elle peut-être diluée dans un peu d'eau. Attention cependant à privilégier la récolte de l'année pour plus d'efficacité. Outre sa grande concentration en vitamine C, l'avantage est que l'Argousier est endémique (notamment dans les Alpes du sud où la production a repris) et rustique (c'est une des premières variétés à avoir recolonisé les sols après la dernière grande aire glacière. Elle favorise également l'enrichissement des sols), donc plus besoin d'importer des oranges d'Amérique ! Une cure de jus d'Argousier permettra ainsi de lutter contre la grippe qui sévit et qui est particulièrement contagieuse cette année (expérience oblige). Pour les becs sucrés, on peut également trouver des confitures, marmelades, sirops, voire liqueurs d'Argouses.
Présent sur tout le pourtour méditerranéen, l'arbousier n'est pas le cousin de l'argousier ! Il produit également à la fin de l'automne des petits fruits rouge comestibles et légèrement acidulés bien qu'un peu plus sucrés. À consommer avec modération du fait de sa légère toxicité !
Restons dans l'acidité avec le jus de citron. Après les fêtes et tous les excès de la fin d'année, mais aussi de manière générale, un bon moyen de drainer le foie est de faire une cure de jus de citron. 1/2 jus de citron jaune (dilué ou non) le matin à jeun pendant 10 jours, 15 minutes avant de prendre le petit déjeuner. Il faut le presser minute pour éviter son oxydation !
]]>La COP 28 vient de s'achever sur un accord "historique" prévoyant une transition vers la sortie des énergies fossiles et atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Personne n'est dupe quant aux engagements pris par des états producteurs d'énergies fossiles et des états hyper dépendants de ces dernières. Concernant les émissions de gaz à effet de serre, le grand public et les médias sont surtout focalisés sur le secteur du transport et du chauffage. Il est toutefois important de ne pas ignorer les autres sources émettrices comme l'acier ou le béton. Le sujet est abordé de manière intéressante dans l'émission Maman, j'ai arrêté l'avion ! en date du mercredi 6 décembre 2023.
On note ainsi que le béton émet 4% à 8% des émissions mondiales de CO2 et l'acier entre 7% et 9%, donc un total compris entre 11% et 17% (même si l'acier n'est pas exclusivement associé au béton). Au-delà des émissions brutes, il faut se poser la question de savoir ce que représente ces matériaux dans notre société. Dans le monde occidental et ses influences, le béton de ciment et l'acier sont à la base de constructions solides et modernes. Cet alliance a ainsi remplacé le traditionnel couple pierre/brique - mortier (traditionnel) car il peut facilement être fabriqué en quantité industrielle et coulé selon les formes choisies (par coffrage) en nécessitant un effort moindre, tout en ayant de bonnes propriétés physiques et en permettant d'obtenir des structures plus fines : gain de temps et de main d'œuvre ! Il est ainsi le socle fondateur de toutes nouvelles constructions.
Côté inconvénients, il y a bien sûr les émissions de CO2 (avec notamment une cuisson pouvant atteindre 1500°C), mais également le fait que le béton nécessite du sable. Hors, le sable disponible en quantité astronomique sur terre, notamment dans le désert du Sahara, est impropre à sa fabrication. Ainsi, les méga buildings du moyen orient ont nécessités l'importation de sable venu de l'autre bout du monde (notamment l'Australie). De manière générale, ce sable est prélevé dans les fonds marins, ce qui perturbe (voire détruit) les éco systèmes présents sur place ! Un autre problème des constructions est l'artificialisation des sols. Celle-ci se fait à la fois au dessus de la terre (avec au moins un étage), mais également en profondeur du fait de la nécessité de creuser des fondations (remplacement de la terre par du béton). Le sol ne respire plus, il n'y a plus d'organismes vivants pour faire fonctionner le cycle de la vie et effet pervers en sus, le béton stocke et émet de la chaleur !
Pourtant, il faut bien loger les gens et leur offrir des infrastructures. L'idée la plus simple est une hyper concentration de la population dans des grandes villes pour limiter l'empreinte au sol. Ceci impose une vie en communauté forte avec des espaces privatifs plutôt restreints. Si la ville offre l'avantage d'avoir des lieux dynamiques et une multitude de services proches, l'inconvénient est que chacun se doit de respecter des règles plus strictes pour ne pas empiéter sur les libertés des voisins. Malheureusement, il y a toujours un faible pourcentage de la population ne respectant pas ces règles (même de manière intermittente), et donc, plus la population augmente, plus le nombre de personnes inciviles augmente. On cherche donc naturellement à avoir plus d'espaces privés et un lien plus limité avec le voisinage : formulation qui se traduit par la maison individuelle. Le ratio empreinte au sol/personne est dans ce cas clairement très mauvais. Surtout que l'on ne mutualise pas certaines ressources comme le chauffage. Cela augmente également le morcellement et le cloisonnement du territoire ; la faune sauvage ne peut non plus seulement vivre à cet endroit, mais elle ne pourra même plus y accéder ! C'est ainsi une perte sèche pour la biodiversité (faune et flore).
Une alternative de construction est proposée en fin d'émission : le mur de carton. Certes, le carton a une réputation bas de gamme. Il n'en est rien ici ! Suffisamment épais et construit avec une structure alvéolée, il offre des propriétés d'isolation à la fois thermique et phonique excellentes. Il faudra bien sûr lui adjoindre une fine couche d'isolation pour éviter le contact avec l'eau, mais sa légèreté lui permet d'être embarqué dans une structure en bois. L'ensemble peut également être posé sur pilotis afin de laisser respirer le sol et d'éviter d'avoir à creuser des fondations. Le bilan en terme de ressources renouvelables est donc très bon. Reste à voir le passage à l'échelle, la possibilité de construire en hauteur et les retours d'expériences sur une période longue (actuellement il n'y a que quelques maisons pilotes).
Mais, au-delà de ces aspects techniques, l'urbanisme est au cœur du fondement de nos sociétés. Le besoin d'être dans un environnement dynamique évolue au fil de nos existences. De manière générale, il est fort pendant la période 15 ans - 40 ans, plus faible en dehors. Pourtant, la construction personnelle (et par extension, celle de la société) se joue principalement entre 0 et 10 ans. Alors, comment réagit-on quand on nous parle de "protection de la nature" si on n'a jamais été en contact avec elle ? Si elle n'est présente qu'à travers des images ? De manière assez indifférente, car on n'a pas crée de liens. En effet, on ne protège que ce que l'on connait : un proche malade ou en danger sera notre priorité. Un étranger à l'autre bout du monde ne suscitera qu'une émotion éphémère. Pourtant, nous faisons partie intégrante de la nature. À la question Quel animal aimeriez-vous être ?, notre imaginaire nous pousse soit vers des animaux domestiques, soit vers des animaux sauvages (à priori puissants), alors qu'en réalité nous faisons déjà parti du règne animal !
Les personnes qui naissent et grandissent dans une mer de béton ne construisent plus ce lien avec la nature. Selon les dirigeants locaux et leur politique, l'urbanisme leur permettra peut-être d'accéder à des espaces verts. Encore faut-il qu'ils soient assez grands et diversifiés pour accueillir la faune sauvage. Dans ce cas, c'est un jardin commun qui apporte également de la fraîcheur. Il en va de même pour les jardins privatifs : ils permettent une première approche de l'environnement. Néanmoins, du gazon et une piscine sont des terres mortes. Le compromis est donc difficile à trouver, plus encore dans une société à croissance exponentielle. Mais à ce jeu là, il ne faut pas oublier que la nature gagne toujours, quitte à tout détruire pour se reconstruire dans les prochains millénaires.
]]>La COP 28 vient de s'achever sur un accord "historique" prévoyant une transition vers la sortie des énergies fossiles et atteindre la neutralité carbone d'ici 2050. Personne n'est dupe quant aux engagements pris par des états producteurs d'énergies fossiles et des états hyper dépendants de ces dernières. Concernant les émissions de gaz à effet de serre, le grand public et les médias sont surtout focalisés sur le secteur du transport et du chauffage. Il est toutefois important de ne pas ignorer les autres sources émettrices comme l'acier ou le béton. Le sujet est abordé de manière intéressante dans l'émission Maman, j'ai arrêté l'avion ! en date du mercredi 6 décembre 2023.
On note ainsi que le béton émet 4% à 8% des émissions mondiales de CO2 et l'acier entre 7% et 9%, donc un total compris entre 11% et 17% (même si l'acier n'est pas exclusivement associé au béton). Au-delà des émissions brutes, il faut se poser la question de savoir ce que représente ces matériaux dans notre société. Dans le monde occidental et ses influences, le béton de ciment et l'acier sont à la base de constructions solides et modernes. Cet alliance a ainsi remplacé le traditionnel couple pierre/brique - mortier (traditionnel) car il peut facilement être fabriqué en quantité industrielle et coulé selon les formes choisies (par coffrage) en nécessitant un effort moindre, tout en ayant de bonnes propriétés physiques et en permettant d'obtenir des structures plus fines : gain de temps et de main d'œuvre ! Il est ainsi le socle fondateur de toutes nouvelles constructions.
Côté inconvénients, il y a bien sûr les émissions de CO2 (avec notamment une cuisson pouvant atteindre 1500°C), mais également le fait que le béton nécessite du sable. Hors, le sable disponible en quantité astronomique sur terre, notamment dans le désert du Sahara, est impropre à sa fabrication. Ainsi, les méga buildings du moyen orient ont nécessités l'importation de sable venu de l'autre bout du monde (notamment l'Australie). De manière générale, ce sable est prélevé dans les fonds marins, ce qui perturbe (voire détruit) les éco systèmes présents sur place ! Un autre problème des constructions est l'artificialisation des sols. Celle-ci se fait à la fois au dessus de la terre (avec au moins un étage), mais également en profondeur du fait de la nécessité de creuser des fondations (remplacement de la terre par du béton). Le sol ne respire plus, il n'y a plus d'organismes vivants pour faire fonctionner le cycle de la vie et effet pervers en sus, le béton stocke et émet de la chaleur !
Pourtant, il faut bien loger les gens et leur offrir des infrastructures. L'idée la plus simple est une hyper concentration de la population dans des grandes villes pour limiter l'empreinte au sol. Ceci impose une vie en communauté forte avec des espaces privatifs plutôt restreints. Si la ville offre l'avantage d'avoir des lieux dynamiques et une multitude de services proches, l'inconvénient est que chacun se doit de respecter des règles plus strictes pour ne pas empiéter sur les libertés des voisins. Malheureusement, il y a toujours un faible pourcentage de la population ne respectant pas ces règles (même de manière intermittente), et donc, plus la population augmente, plus le nombre de personnes inciviles augmente. On cherche donc naturellement à avoir plus d'espaces privés et un lien plus limité avec le voisinage : formulation qui se traduit par la maison individuelle. Le ratio empreinte au sol/personne est dans ce cas clairement très mauvais. Surtout que l'on ne mutualise pas certaines ressources comme le chauffage. Cela augmente également le morcellement et le cloisonnement du territoire ; la faune sauvage ne peut non plus seulement vivre à cet endroit, mais elle ne pourra même plus y accéder ! C'est ainsi une perte sèche pour la biodiversité (faune et flore).
Une alternative de construction est proposée en fin d'émission : le mur de carton. Certes, le carton a une réputation bas de gamme. Il n'en est rien ici ! Suffisamment épais et construit avec une structure alvéolée, il offre des propriétés d'isolation à la fois thermique et phonique excellentes. Il faudra bien sûr lui adjoindre une fine couche d'isolation pour éviter le contact avec l'eau, mais sa légèreté lui permet d'être embarqué dans une structure en bois. L'ensemble peut également être posé sur pilotis afin de laisser respirer le sol et d'éviter d'avoir à creuser des fondations. Le bilan en terme de ressources renouvelables est donc très bon. Reste à voir le passage à l'échelle, la possibilité de construire en hauteur et les retours d'expériences sur une période longue (actuellement il n'y a que quelques maisons pilotes).
Mais, au-delà de ces aspects techniques, l'urbanisme est au cœur du fondement de nos sociétés. Le besoin d'être dans un environnement dynamique évolue au fil de nos existences. De manière générale, il est fort pendant la période 15 ans - 40 ans, plus faible en dehors. Pourtant, la construction personnelle (et par extension, celle de la société) se joue principalement entre 0 et 10 ans. Alors, comment réagit-on quand on nous parle de "protection de la nature" si on n'a jamais été en contact avec elle ? Si elle n'est présente qu'à travers des images ? De manière assez indifférente, car on n'a pas crée de liens. En effet, on ne protège que ce que l'on connait : un proche malade ou en danger sera notre priorité. Un étranger à l'autre bout du monde ne suscitera qu'une émotion éphémère. Pourtant, nous faisons partie intégrante de la nature. À la question Quel animal aimeriez-vous être ?, notre imaginaire nous pousse soit vers des animaux domestiques, soit vers des animaux sauvages (à priori puissants), alors qu'en réalité nous faisons déjà parti du règne animal !
Les personnes qui naissent et grandissent dans une mer de béton ne construisent plus ce lien avec la nature. Selon les dirigeants locaux et leur politique, l'urbanisme leur permettra peut-être d'accéder à des espaces verts. Encore faut-il qu'ils soient assez grands et diversifiés pour accueillir la faune sauvage. Dans ce cas, c'est un jardin commun qui apporte également de la fraîcheur. Il en va de même pour les jardins privatifs : ils permettent une première approche de l'environnement. Néanmoins, du gazon et une piscine sont des terres mortes. Le compromis est donc difficile à trouver, plus encore dans une société à croissance exponentielle. Mais à ce jeu là, il ne faut pas oublier que la nature gagne toujours, quitte à tout détruire pour se reconstruire dans les prochains millénaires.
]]>Le temps passe vite... Dans moins d'un mois, le dimanche 22 octobre, à 9h, boulevard du Midi Louise Moreau à Cannes, sera donné le départ du 10km. 10km pour soutenir la lutte contre le cancer du sein avec l'association Odyssea. Pour ceux qui ne cherchent pas le challenge, la version 5km (une seule boucle) qui démarre à 11h peut se faire en marchant, ainsi que la course enfants. Quant aux retardataires, ils pourront se rabattre sur la course connectée (entre le 16 et le 29 octobre).
Retour : Les conditions étaient parfaites : grand soleil, légère brise marine, ~14°C. Oui, mais voilà, entre les blessures, les infections et le manque de rythme, je n'envisageais pas de viser un quelconque chrono. Surtout quand 5 jours avant, il m'était impossible de courir à cause d'une grosse douleur à la cuisse. Glace, crème anti inflammatoire, le compte à rebours était lancé ! Incertain jusqu'à la veille, j'ai quand même pu prendre le départ, ne sachant même pas si j'allais devoir abandonner. Si la douleur était supportable à allure modérée, il a fallu baisser de rythme aux 5km sous peine de tout casser. Finalement, j'ai quand même pu accélérer peu avant la fin. Le temps et le classement était donc ailleurs ce dimanche, seul objectif visé : participer et terminer afin de soutenir une cause chère. 680 autres participants se sont pressés pour ce 10km, malgré de nombreux couacs de l'organisation : arrivé sur place pour récupérer mon dossard avec 30 minutes d'avance, j'ai franchi la ligne de départ 5 minutes après le coup d'envoi et d'autres ... avec 20 minutes de retard. On notera également le fait qu'il n'y ait toujours pas de consignes pour les sacs (pourtant la course est co organisée par l'AC Cannes ...) et la distribution à l'arrivée d'une petite bouteille d'eau par personne (de la part d'un sponsor), donc beaucoup de plastique inutile... Pourtant, les bénévoles ont répondu présent et la course s'est déroulé sans encombre. Même si le classement est plus qu’anecdotique cette année, une 361e place en 56'23 (50'55 sur ma montre) est tout à fait honorable. Toutes courses confondues, ce sont 3800 participants et 38 000€ de récoltés qui permettent de financer le centre de lutte contre le cancer Antoine Lacassagne, ASSO Cannes et SOS Cancer du sein PACA, quand on vous dit que l'essentiel était ailleurs !
Le 11 novembre tombe un samedi en 2023. Pour évacuer son trop plein d'énergie, il faudra se rendre dans le massif de l’Estérel afin de participer à la traditionnelle course des Paroisses, organisée par la paroisse de St Raphaël. Je pari sur un 12km sous la pluie cette année ! (On se réchauffera avec un bonne crêpe à l'arrivée). Une version 5km et une course enfant est également disponible.
Retour : Quel plaisir de se tromper ! Il faisait grand beau ce samedi ! 17°C/18°C et surtout du vent pour chasser les nuages (et nous ralentir au passage). La pluie des derniers jours a obligé les organisateurs à modifier légèrement les fins de circuits, mais n'a pas découragé les quelques 452 participants. Et comme (presque) chaque année, le plaisir de retrouver les bénévoles sur un parcours magnifique. D'autant plus que personne n'est perdant puisqu'une bière (de la brasserie locale Riviera beer) est offerte à chaque participant ! Bière très légère, parfaite pour un retour de course. Pour ma part, ce fut une épreuve tout en gestion à cause d'une petite rechute 10 jours plus tôt. Il faut dire que 3 jours avant le départ, je ne pensais même pas être capable de pouvoir être présent. Ajouté à cela le fait que mon dernier 12km en mode trail date ... d'avril. Autant dire qu'avec un tel niveau d'inpréparation je fut étonné de faire un chrono en 5'06 (contre 5'01 l'année précédente) et obtenir une très honorable 76/213 place.
Le dimanche 10 décembre : la 40e édition de la boucle Garbejaire <-> Valbonne. 11km pour aider à défendre les droits de l'Homme avec Amnesty International (alternative de 4km possible). L'association proposera à cette occasion une collecte de chaussures de sport pour les réfugiés.
Retour : Loin des 4°C/5°C habituels sur Garbejaïre, le redoux hivernal a boosté les températures jusqu'à 12°C/13°C au départ, avec une bonne masse d'air chaud. Autant dire que les parties à l'ombre permettaient de se refroidir un peu. En tout cas, cela aura été plus agréable pour les nombreux bénévoles présents tout au long du parcours et qui ont donné beaucoup d'encouragements envers les 214 coureurs engagés (toutes courses confondues). Pour ma part, la préparation a été trop timide pour espérer mieux qu'un troisième meilleur temps en 56'22, loin 54'38 de l'année précédente et malgré de bonnes sensations. Il faut dire que le retour de blessure/rechute, ajouté à un emploi du temps pas vraiment favorable, n'ont rien arrangé. C'est seulement la 3e sortie en mode trail/12km depuis avril ! Ce qui donne malgré tout un classement sympa de 34/158. Mais, au delà de la course, on aura surtout une pensée toute particulières aux Gazaouis pris en otage entre le feu du Hamas et celui d'Israël, ainsi qu'aux valeureux combattants Ukrainiens qui tiennent une ligne de front aussi glacée que meurtrière.
Samedi 16 décembre décembre, à peine le temps de récupérer, la course (déguisée) des pères (et mères Noël) dans le centre historique de Grasse au profit de l'association des chaussettes jaunes. Départ vers 17h.
COURSE ANNULÉE : L'association n'est pas en mesure d'appliquer les conditions drastiques de sécurité imposées par la préfecture...
NB: Un certificat médical est obligatoire pour chaque course chronométrée
]]>Le temps passe vite... Dans moins d'un mois, le dimanche 22 octobre, à 9h, boulevard du Midi Louise Moreau à Cannes, sera donné le départ du 10km. 10km pour soutenir la lutte contre le cancer du sein avec l'association Odyssea. Pour ceux qui ne cherchent pas le challenge, la version 5km (une seule boucle) qui démarre à 11h peut se faire en marchant, ainsi que la course enfants. Quant aux retardataires, ils pourront se rabattre sur la course connectée (entre le 16 et le 29 octobre).
Retour : Les conditions étaient parfaites : grand soleil, légère brise marine, ~14°C. Oui, mais voilà, entre les blessures, les infections et le manque de rythme, je n'envisageais pas de viser un quelconque chrono. Surtout quand 5 jours avant, il m'était impossible de courir à cause d'une grosse douleur à la cuisse. Glace, crème anti inflammatoire, le compte à rebours était lancé ! Incertain jusqu'à la veille, j'ai quand même pu prendre le départ, ne sachant même pas si j'allais devoir abandonner. Si la douleur était supportable à allure modérée, il a fallu baisser de rythme aux 5km sous peine de tout casser. Finalement, j'ai quand même pu accélérer peu avant la fin. Le temps et le classement était donc ailleurs ce dimanche, seul objectif visé : participer et terminer afin de soutenir une cause chère. 680 autres participants se sont pressés pour ce 10km, malgré de nombreux couacs de l'organisation : arrivé sur place pour récupérer mon dossard avec 30 minutes d'avance, j'ai franchi la ligne de départ 5 minutes après le coup d'envoi et d'autres ... avec 20 minutes de retard. On notera également le fait qu'il n'y ait toujours pas de consignes pour les sacs (pourtant la course est co organisée par l'AC Cannes ...) et la distribution à l'arrivée d'une petite bouteille d'eau par personne (de la part d'un sponsor), donc beaucoup de plastique inutile... Pourtant, les bénévoles ont répondu présent et la course s'est déroulé sans encombre. Même si le classement est plus qu’anecdotique cette année, une 361e place en 56'23 (50'55 sur ma montre) est tout à fait honorable. Toutes courses confondues, ce sont 3800 participants et 38 000€ de récoltés qui permettent de financer le centre de lutte contre le cancer Antoine Lacassagne, ASSO Cannes et SOS Cancer du sein PACA, quand on vous dit que l'essentiel était ailleurs !
Le 11 novembre tombe un samedi en 2023. Pour évacuer son trop plein d'énergie, il faudra se rendre dans le massif de l’Estérel afin de participer à la traditionnelle course des Paroisses, organisée par la paroisse de St Raphaël. Je pari sur un 12km sous la pluie cette année ! (On se réchauffera avec un bonne crêpe à l'arrivée). Une version 5km et une course enfant est également disponible.
Retour : Quel plaisir de se tromper ! Il faisait grand beau ce samedi ! 17°C/18°C et surtout du vent pour chasser les nuages (et nous ralentir au passage). La pluie des derniers jours a obligé les organisateurs à modifier légèrement les fins de circuits, mais n'a pas découragé les quelques 452 participants. Et comme (presque) chaque année, le plaisir de retrouver les bénévoles sur un parcours magnifique. D'autant plus que personne n'est perdant puisqu'une bière (de la brasserie locale Riviera beer) est offerte à chaque participant ! Bière très légère, parfaite pour un retour de course. Pour ma part, ce fut une épreuve tout en gestion à cause d'une petite rechute 10 jours plus tôt. Il faut dire que 3 jours avant le départ, je ne pensais même pas être capable de pouvoir être présent. Ajouté à cela le fait que mon dernier 12km en mode trail date ... d'avril. Autant dire qu'avec un tel niveau d'inpréparation je fut étonné de faire un chrono en 5'06 (contre 5'01 l'année précédente) et obtenir une très honorable 76/213 place.
Le dimanche 10 décembre : la 40e édition de la boucle Garbejaire <-> Valbonne. 11km pour aider à défendre les droits de l'Homme avec Amnesty International (alternative de 4km possible). L'association proposera à cette occasion une collecte de chaussures de sport pour les réfugiés.
Retour : Loin des 4°C/5°C habituels sur Garbejaïre, le redoux hivernal a boosté les températures jusqu'à 12°C/13°C au départ, avec une bonne masse d'air chaud. Autant dire que les parties à l'ombre permettaient de se refroidir un peu. En tout cas, cela aura été plus agréable pour les nombreux bénévoles présents tout au long du parcours et qui ont donné beaucoup d'encouragements envers les 214 coureurs engagés (toutes courses confondues). Pour ma part, la préparation a été trop timide pour espérer mieux qu'un troisième meilleur temps en 56'22, loin 54'38 de l'année précédente et malgré de bonnes sensations. Il faut dire que le retour de blessure/rechute, ajouté à un emploi du temps pas vraiment favorable, n'ont rien arrangé. C'est seulement la 3e sortie en mode trail/12km depuis avril ! Ce qui donne malgré tout un classement sympa de 34/158. Mais, au delà de la course, on aura surtout une pensée toute particulières aux Gazaouis pris en otage entre le feu du Hamas et celui d'Israël, ainsi qu'aux valeureux combattants Ukrainiens qui tiennent une ligne de front aussi glacée que meurtrière.
Samedi 16 décembre décembre, à peine le temps de récupérer, la course (déguisée) des pères (et mères Noël) dans le centre historique de Grasse au profit de l'association des chaussettes jaunes. Départ vers 17h.
COURSE ANNULÉE : L'association n'est pas en mesure d'appliquer les conditions drastiques de sécurité imposées par la préfecture...
NB: Un certificat médical est obligatoire pour chaque course chronométrée
]]>It's fast and extensible, can be run on a low power server. This is why I really, really thanks Loïc for his hard work. More than ten years after, I still can run it (with some patches) !
Nevertheless, web technologies evolve too fast and I don't want to run PHP5 anymore (nor create a container for it). I wanted something light & fast, something I can hack, something nice for the eyes. After looking on all available forges, I decided to test Gitea. I don't know Go programming language, so I can't patch it, but I was really impressed to see how fast it is (on a low power server). Concerning UI, it's a clone of Github, but it's almost the case for all competitors... Not really nice or innovative, but it's okay. The funny fact is that I can't compile it by myself because it take too much memory... Fortunately, the precompiled binary works like a charm !
Why not Github (or other online forge) ? More than code hosting, Github offers a community. It has become the reference for all developpers (you can even run your own company instance !). I'm pretty sure I would get more contributions to my projets if I put them on it. From a technical point of view, it works very well and offer all you need (except project management). So, the reason to not choose an external forge is more a philosophical decision : it's better to keep your projects/data in your own home more than elsewhere, to have a full control on it (ok, git is by design a distributed software). It's the same for the blog in comparison of Facebook/Instagram/Whatever... Sure, it's less fast, can have some downtime and I had to take care on backups and administration by myself. It's the price of freedom.
The new address for my projects is more generic : forge.soutade.fr. I tried to map old inDefero URLs to redirect in the new one, but didn't migrate tickets & user accounts (sorry everybody).
]]>It's fast and extensible, can be run on a low power server. This is why I really, really thanks Loïc for his hard work. More than ten years after, I still can run it (with some patches) !
Nevertheless, web technologies evolve too fast and I don't want to run PHP5 anymore (nor create a container for it). I wanted something light & fast, something I can hack, something nice for the eyes. After looking on all available forges, I decided to test Gitea. I don't know Go programming language, so I can't patch it, but I was really impressed to see how fast it is (on a low power server). Concerning UI, it's a clone of Github, but it's almost the case for all competitors... Not really nice or innovative, but it's okay. The funny fact is that I can't compile it by myself because it take too much memory... Fortunately, the precompiled binary works like a charm !
Why not Github (or other online forge) ? More than code hosting, Github offers a community. It has become the reference for all developpers (you can even run your own company instance !). I'm pretty sure I would get more contributions to my projets if I put them on it. From a technical point of view, it works very well and offer all you need (except project management). So, the reason to not choose an external forge is more a philosophical decision : it's better to keep your projects/data in your own home more than elsewhere, to have a full control on it (ok, git is by design a distributed software). It's the same for the blog in comparison of Facebook/Instagram/Whatever... Sure, it's less fast, can have some downtime and I had to take care on backups and administration by myself. It's the price of freedom.
The new address for my projects is more generic : forge.soutade.fr. I tried to map old inDefero URLs to redirect in the new one, but didn't migrate tickets & user accounts (sorry everybody).
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