The Dictator
Politiquement incorrect. Quand on s'appelle Aladeen est qu'on est dictateur de la République du Wadiya, en Afrique du Nord, on peut tout se permettre ! C'est sur cette base quasi illimitée que les scénaristes, comme pour Borat, mettent en scène un dictateur imbu de lui-même, machiste à souhait et dont le seul objectif est de se satisfaire lui même. Le fond de l'histoire commence quand Aladeen doit s'expliquer devant l'ONU sur ses agissements militaires (et notamment sur une potentielle bombe nucléaire), il est alors convié aux États-Unis, mais se retrouve au petit matin dans la rue sans soutien, ni argent. Il va alors devoir reconquérir sa place.
L'objectif du film est un gag toutes les deux minutes. Dans l'ensemble c'est plutôt réussit, même si c'est parfois très limites (certains propos ou faits peuvent choquer les plus jeunes). Il se permet même de rendre hommage à Kim Jong-il avant le début du film. Plus qu'une critique de l'occident, c'est un délire total de Sacha Baron Cohen et ses amis !