Archives 2012

Neotion recrute !

Monday, 16 July 2012
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Écrit par
Grégory Soutadé

 

En pleine croissance, Neotion a ouvert 6 postes pour le site d'Aubagne :

  • 2 architectes
  • 1 poste au support
  • 1 poste en intégration logicielle
  • 1 poste en outils de production (logiciel)
  • 1 poste pour les tests en R&D

Le dénominateur commun est le logiciel embarqué (C, ARM), la sécurité, le monde de la télévision numérique (DVB/CI/CI+). Toutes les informations sont disponibles sur Neotion Carreers

Mains armées

Sunday, 15 July 2012
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Écrit par
Grégory Soutadé

Des armes de guerre de l'OTAN ont été subtilisées en Serbie. Elles servent maintenant pour des braquages en France. L'inspecteur Skali, et son équipe, est chargé de l'affaire. À cela se mêle la drogue et une fille abandonnée il y a longtemps, devenue flic. Dans l'ensemble le film se laisse regarder, l'intrigue est intéressante. Néanmoins, il s'essouffle un peu aux trois quarts. On se perd dans une certaine description des faits, dans un boulot de longue haleine pour remonter incessamment cette piste jusqu'au chef, alors qu'il faudrait un peu plus d'action. L'histoire du père et de la fille amène elle aussi un ralentissement du rythme global. La réalisation est classique pour un film policier français. Côté acteurs, ils n'ont pas à rougir de l'interprétation vraiment bonne qu'ils donnent. le plus populaire étant sûrement Marc Lavoine qui s'en sort très bien (comme dans "Les Meilleurs amis du monde ").

Migration chez Gandi

Tuesday, 03 July 2012
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Écrit par
Grégory Soutadé

Alors que mon certificat SSL expire dans deux mois, OVH m'envoie un mail m'indiquant qu'ils abandonnent la certification SSL. Je trouve dommage de ne plus proposer de certification SSL quand on veut être un acteur majeur de l'Internet... Bref je n'ai pas envie d'avoir deux contrats dans deux sociétés différentes (pour mon certificat et mon nom de domaine), j'ai donc pris la décision (contestable) de tout migrer chez Gandi. À la base je voulais m'enregistrer chez Gandi car ils ont une bonne renommée, mais j'ai finalement choisi OVH. La migration s'est faite en huit jours une fois que j'ai eu désactivé la protection du domaine et récupéré la clé secrète chez OVH.

Après quelques jours d'utilisation, je me rend compte qu'OVH est supérieur techniquement à Gandi dans les outils qu'ils proposent, ils sont beaucoup plus simples et intuitifs (même si le support est loin d'être terrible). Bon, une fois configuré, on ne touche plus à rien, mais quand même... Et surtout un GROS manque chez Gandi est qu'ils ne gèrent pas nativement une ip dynamique (DynDNS). Évidemment je m'en suis rendu compte après migration...

La solution proposé sur les forums est de faire pointer un enregistrement IP (A) vers un DynDNS ... ce n'est pas acceptable. Heureusement, après quelques recherches, je découvre que Gandi met a disposition une API XML permettant de manipuler son compte ! Après m'être battu inutilement avec la version OT&E (qui ne permet de rien faire), j'ai finalement réussit à obtenir l'équivalent d'un DynDNS avec un petit script python que l'on mettra en cron :

#!/usr/bin/env python import xmlrpclib import urllib2 import re import sys # # Update Gandi DNS with dynamic IP # # This doesn't work with OT&E platform !! # DEBUG = False zone_to_edit = 'Soutade' apikey = 'Your private API key' api = xmlrpclib.ServerProxy('https://rpc.gandi.net/xmlrpc/') def debug(str): if DEBUG: print str # Get current IP current_ip = '' try: dyndns_url = 'http://checkip.dyndns.com/' f = urllib2.urlopen(dyndns_url) data = f.read() f.close() pattern = re.compile('[^:]*(\d+\.\d+\.\d+\.\d+)') result = pattern.search(data, 0) if result == None: print "No IP found" sys.exit(1) else: current_ip = result.group(0).strip() except urllib2.HTTPError: print "Connexion error" sys.exit(1) debug('Your current IP is \'' + current_ip + '\'') # Update Gandi DNS zones = api.domain.zone.list(apikey, {'name' : zone_to_edit}) if len(zones) == 0: print 'Zone \'' + zone_to_edit + '\' not found' sys.exit(1) zone = zones[0] debug('Zone to be edited') debug(zone) records = api.domain.zone.record.list(apikey, zone['id'], zone['version']) edited = False for record in records: if record['type'] == 'A' and current_ip != record['value']: debug('Edit record') debug(record) record['value'] = current_ip edited = True # Delete all id keys del record['id'] if edited: debug('Edit result') debug(records) if zone['version'] == 1: zone['version'] = 2 else: zone['version'] = 1 debug('New version is ' + str(zone['version'])) api.domain.zone.record.set(apikey, zone['id'], zone['version'], records) api.domain.zone.version.set(apikey, zone['id'], zone['version']) debug('New zone values') debug(api.domain.zone.record.list(apikey, zone['id'], zone['version']))

Le script ne se veut pas générique, mais il fonctionne ! Il faut l'adapter en changeant la clé d'API et le nom de la zone à éditer. Il faut aussi créer deux versions (1 et 2) de la zone à modifier avec au moins un champs A et attacher le nom de domaine à cette zone. On pourra activer les traces en changeant la valeur de DEBUG. Pour info, mes paramètres DNS sont (mode expert) :

@ 1080 IN A 86.193.241.253 * 1080 IN CNAME soutade.fr. @ 1080 IN MX 10 soutade.fr.

La première ligne fait pointer soutade.fr (nom de domaine attaché = @) à une IP que l'on mettra à jour dynamiquement. La seconde ligne fait pointer n'importe quel sous domaine de soutade.fr (blog.soutade.fr par exemple) vers soutade.fr qui point lui même vers une IP. La troisième ligne permet d'indiquer que le serveur mail se trouve également sur l'IP pointée par soutade.fr.

La bonne nouvelle est que j'ai droit à un certificat SSL gratuit pendant un an et le renouvellement de mon nom de domaine pour un an également, le tout pour 15€ ! Je reviendrai peut être chez OVH pour Internet... un jour...

Adieu Berthe ou l'enterrement de mémé

Thursday, 28 June 2012
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Écrit par
Grégory Soutadé

Bienvenue dans le monde merveilleux des Podalydès. Un monde emplit de mélancolie, d'une certaine poésie, d'un peu de folie, d'un soupçon de philosophie, parfois drôle, laissant les êtres ici bas se battre dans un monde en perpétuelle mouvance en les regardant avec un petit sourire au coin des lèvres. Les deux frères (à la fois scénaristes, réalisateurs et acteurs) mettent en scène leur personnage favoris : un homme de la quarantaine, un peu perdu. Il vient d'apprendre la mort de sa grand-mère dont il ne s'est jamais soucié et va devoir organiser les funérailles de celle-ci. Autour de lui gravitent sa femme dont il se lasse, son garçon qu'il n'a pas vu grandir, sa belle-mère exécrable à souhaits et sa nouvelle maîtresse.

On voit pendant 1h40 tout ce petit monde se débattre en conflit d'intérêt pour s'apercevoir à la fin de l'histoire que l'on n'a pas parlé du sujet principal, à savoir Berthe. C'est un film dans la plus pure tradition des films d'auteurs français, passablement long et ennuyeux pour les béotiens. Il arbore hélàs peu de profondeur, c'est un "essai", que l'on regardera de préférence devant son poste de télévision plutôt qu'au cinéma. D'un point de vue réalisation la scène des pompes funèbres est particulièrement réussit, le reste est classique.