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Radar de l'aviation civile

Monday, 31 December 2018
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Écrit par
Grégory Soutadé

Départ depuis le col du Pilon

C'est une boule blanche qui trône au dessus du plateau de la Malle. Beaucoup la prennent pour un télescope (du fait de la proximité du plateau de Caussols). Il s'agit en réalité d'un radar de l'aviation civile ! C'est également l'objectif du jour.

Pour s'y rendre, deux options s'offrent à nous : commencer le tour de la marbrière, puis tourner vers St Christophe, ou démarrer à partir du col du Pilon. C'est la deuxième option (plus courte) qui a été choisie. Autant le dire de suite, il s'agit d'une randonnée difficile (distance et dénivelé importants).

Il faut donc se rendre au col du pilon, à l'entrée de St Vallier-de-Thiez, peu après la maison d'arrêt de Grasse. L'objectif est de suivre le chemin tracé à travers la montagne. C'est une canalisation de gaz à haute pression. Elle est symbolisée par des nichoirs jaunes.

La randonnée commence tranquillement avec un beau parcours forestier.

Dans les bois Dans les bois, contre jour

Puis, la pente se fait plus forte, le sol est instable (beaucoup de cailloux).

Chemin qui suit la canalisation panorama à mi côte

Une fois arrivé au sommet, on aperçoit le second objectif : les antennes !

Aperçu des antennes

Si le chemin semble tout tracé, il faudra pourtant contourner par la gauche une propriété privée et clôturée afin de rejoindre une route. À 11h du matin, elle est encore gelée. Pourtant, le temps est idéal pour se promener.

Chemin encore gelé

C'est à ce moment qu'il faut être vigilant et bifurquer sur le GR4 signalé en rouge, sous peine de faire un grand détour ! Il faut bien penser aux nichoirs jaunes qui "balisent" le chemin.

Bifurcation du GR4

Une fois passé les antennes, on n'entend plus le bruit de la route, l'air est pur, le soleil nous réchauffe généreusement, c'est un vrai régal.

Au loin, une maison Cabane en pierre

Il va falloir attaquer la descente, le radar en ligne de mire. Un peu moins raide que la précédente, elle n'en reste pas moins instable par endroit.

Descente vers le plateau de la Malle

Au loin on aperçoit un château. On n'imagine pas, du fait que l'endroit est reculé, mais il y a plusieurs maisons sur le plateau et quasiment toutes sont habitées (même en hiver).

Au loin un château

En regardant plus près, un chamois a coupé le chemin en deux bonds. Trop rapide pour prendre une photo ! Une fois au bas de la pente, il faut être de nouveau vigilant et tourner sur la gauche pour suivre le GR4 qu'il faudra laisser de côté un peu plus tard et poursuivre sur l'arrête de la montagne en direction du radar.

Malheureusement la randonnée s'est arrêtée devant la clôture des maisons bordants la route (au pied de l'ascension finale !!), il n'y avait à priori pas de chemin pour la contourner et l'information du GR4 n'a été connue que lors du retour en discutant avec un autre randonneur. C'est rageant, surtout que le détour par le GR4 fait quand même 2km.

Autre déception : les nuages sur le littoral qui ont gâché le panorama.

Panorama brumeux

Attention à la descente finale, le dénivelé est important et les pierres toujours aussi roulantes. Malgré tout ce fut une très belle journée de décembre.

Lipidose hépatique

Tuesday, 27 November 2018
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Écrit par
Grégory Soutadé

Parlons peu, parlons chats ! Je voudrais mettre en lumière un phénomène qui n'est certes pas nouveau, mais peu connu du grand public et surtout contre intuitif : la lipidose hépatique. Commençons par décomposer ce nom barbare : lipidose vient de lipide (les graisses) et hépatique : du foie. La lipidose hépatique est donc une hépatite causée par l'arrivée massive de triglycérides (un élément de la classe des lipides) dans le foie.

Jusque là rien d'anormal étant donné que le foie est (entre autres) un organe de stockage et de transformation des graisses (miam, le bon foie gras dont on se délecte les jours de fête). Le problème intervient quand il y a un excès de graisses qui provoque une hépatite, donc une destruction des cellules du foie : il est "innondé".

Quel rapport avec les chats me direz-vous ? Mécanisme de survie primaire, lorsque nos chères petites bêtes à poils arrêtent de s'alimenter (initialement à cause d'un manque de proies sauvages, comme en hiver par exemple), le foie va récupérer un maximum de graisses stockées dans le corps pour permettre la redistribution aux organes et donc de poursuivre une activité normale. Ce genre d'anorexie peut également être causé par un stress important (changement d'environnement, nouvel arrivant dans le foyer...). Tandis que chez l'humain, et pour les mêmes causes, cette gestion des graisses continue à être régulée "normalement". D'un point de vue extérieur, l'hépatite se manifeste par un jaunissement progressif : muqueuses, yeux, peau.

Petit problème : ce phénomène intervient également lorsque les chats arrêtent de s'alimenter pour une cause autre telle qu'une maladie et plus particulièrement une maladie liée à l'alimentation/digestion : problème d'oesophage, de pancréas, d'estomac, de côlon...

Ce mécanisme normal à l'état naturel devient hélas mortel pour un animal domestiqué. Pourquoi ? À cause du surpoids ! Manque d'activité, vie confortable, nourriture à volonté et surtout stérilisation qui fait chuter le taux d'hormones et donc ralentit le métabolisme entraînant une élimination plus lente des graisses absorbées. Même un chat qui paraît "normal" est déjà en surpoids par rapport à ce qu'il devrait être à l'état sauvage.

La conclusion est simple : lorsqu'un chat arrête de s'alimenter, c'est qu'il est malade et il faut l'emmener d'urgence chez un vétérinaire avec prise de sang OBLIGATOIRE pour trouver la cause de la maladie et la traiter rapidement avant que cela ne provoque une hépatite qui peut rapidement devenir irréversible. Si le vétérinaire ne trouve rien ou est trop léger, ne pas hésiter à en consulter un autre, même si ce n'est pas le vétérinaire habituel, même s'il est plus loin, même s'il est plus cher. Car Une fois que ce mécanisme est enclenché, les chances de survie sont faibles et il faut alors recourir à des traitements invasifs dont l'issue est incertaine. Pire encore, l'anorexie du chat est un cercle vicieux, car elle provoque des vomissements répétés qui ne lui donnent pas envie de reprendre son alimentation normale. Le chat se meurt à petit feu. D'où l'intérêt d'une prise en charge rapide.

C'est malheureusement l'expérience qui parle...

DIY: Un petit composteur

Tuesday, 16 October 2018
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Écrit par
Grégory Soutadé

Le compostage domestique revient à la mode ! Et il n'y a que des avantages à cette pratique : réduction des déchets domestiques, aération et enrichissement du sol, production de terreau. Bon, pour cela il faut évidemment un petit carré d'herbe disponible, la version "en appartement" étant quand même moins sympa.

Petit hic, la plupart des composteurs sur le marché sont énormes : 200l ou plus. Pas très pratique quand il n'y a pas beaucoup de personnes dans le foyer et/ou que la place que l'on peut allouer au composteur est réduite. En me baladant à Gamm'vert, j'ai trouvé une jardinière qui, avec un peu d'imagination, est devenu un parfait (modeste) composteur !

Pour 25€, on peut y trouver une jardinière de 40cm x 40cm x 39cm pour un volume de 44l. L'avantage est qu'elle est en bois (un composteur en plastique, quelle hérésie !) et qu'il est déjà traité pour l'extérieur (même si on peut rajouter une couche de lasure pour la déco).

Jardinière Gamm'vert

En la retournant, on s'aperçoit que la partie basse est simplement vissée. Pas très droit d'ailleurs...

Fond de la jardinière

Avec un peu d'huile de coude (ou une bonne visseuse/dévisseuse), il faut retirer les 4 vis. On obtient ainsi un cube sans fond qui sera parfait pour faire le lien avec la terre.

Fond de la jardinière, zoom sur les vis

Mais ce n'est pas fini ! Il faut maintenant remettre les vis dans le SENS OPPOSÉ à leur position d'origine, en les laissant dépasser de moitié. Et voilà un couvercle amovible sur les 4 côtés !

Fond de la jardinière avec les vis inversés

Si notre belle réalisation ne pose pas de problème au quotidien, elle offre cependant un peu moins d'ouvertures pratiques pour l'aération du compost et la récupération de ce dernier en fin de saison comparé à ceux que l'on peut trouver dans le commerce.

Résultat final

Est-ce que ça marche ? Après plusieurs semaines d'utilisation, rien à redire. Le compost ne dégage aucune odeur (même une fois ouvert), on l'oublie simplement au fond du jardin. Naturellement, pour arriver à ce résultat, il faut respecter les règles de base du compostage, autrement dit : bien positionner le bac (exposition, humidité, vent, niveau du sol) et ne pas y mettre tout et n'importe quoi, ce qui n'est pas forcément le cas de beaucoup de personnes qui ont par la suite une image assez négative de cette pratique.

[ NEXT ]

Friday, 17 August 2018
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Écrit par
Grégory Soutadé

Il y a un an (déjà), j'avais publié un article faisant echo au "jour du dépassement" paru (entre autres) dans le journal Le Monde. Un an plus tanousrd, Apple s'apprête à sortir trois nouveaux modèles d'iPhone, le feu ravage la Californie, le Portugal, la Suède, la Grêce. L'année précédente a été particulièrement sèche, ce qui a permis aux glaces de fondre en abondance amenant toute une série d'inondations dans le nord de la France durant le printemps. Quant au "jour du dépassement", il est arrivé un jour plus tôt.

Bref, la situation n'est pas bien engagée et les occasions de renverser cette tendance s'amenuisent dangereusement pour atteindre un niveau critique. Une fois passés la coupe du monde, le tour de France et l'affaire Benalla, une série d'articles publiés dans la presse générale m'a fait découvrir la websérie [ NEXT ] crée par Clément Montfort. Il n'en est pas à son coup d'essai, puisqu'il a déjà réalisé des documentaires comme "La guerre des graines" et "Soigneurs de terres" diffusés sur les chaînes nationales.

Jusque dans les années 2000, l'écologie c'était un truc de bobo. Vers 2005 elle a pris plus d'importance aux yeux du grand public avec des chiffres qui commençaient à faire froid dans le dos. Il faut dire que grâce à internet, l'information circule plus rapidement et touche plus de personnes. En 2018, nous sommes dans la phase suivante. Point de départ de la websérie : le livre de Pablo Servigne et Raphaël Stevens. Bien qu'existant depuis les années 70 et le célèbre rapport du "Club de Rome", ils définissent un nouveau courant intellectuel qu'est la "collapsologie" ou "science de l'effondrement" décrivant comment et pourquoi une société s'effondre. Le modèle est similaire depuis une simple société de quelques individus perdus au milieu de l'océan Pacifique jusqu'à l'échelon planétaire.

Ce qui faisait jadis froid dans le dos résonne désormais comme une onde de choc qui lamine les âmes de l'auditorium. Il faut du temps pour l'accepter et s'en remettre. Car au-delà de la peur individuelle de la mort, aucun être vivant n'est préparé au concept de disparition pure et simple de ce que nous avons vu de nos propres yeux et qui nous semble immortel : la transformation d'une planète vivante en un gros cailloux stérile. L'épisode le plus intéressant est l'interview de Cyril Dion réalisateur de "Tomorrow"/"Demain". Je ne suis pas tout à fait d'accord sur certaines causes évoquées dans cette interview, mais les conséquences seront les mêmes.

Si un danger venant de l'extérieur permettrait de mobiliser chaque individualité dans un combat, ce n'est malheureusement pas le cas pour un danger venant de l'intérieur et représenté par chacun. Pour autant, la seule issue possible est collective. Ça ne sert à rien de se cacher au fin fond de la forêt et tenter de vivre en autarcie. Nous avons besoin de vivre en société et partager le travail si l'on veut espérer avoir une vie un tant soit peu descente. Se cacher c'est tomber dans la survie. D'une part, elle ne durera pas bien longtemps et d'autre part, cela n'arrêtera pas les bouleversements écologiques en approche.

Le problème est constitué de la somme des individualités, il faut donc agir sur ce point pour s'en sortir. Et l'on ne peut pas demander à son prochain de faire des efforts si nous ne commençons pas à le faire nous-mêmeŝ : il faut initier le mouvement pour être suivi. Pour cela, il est nécessaire de prendre des initiatives individuelles, mais aussi d'avoir un cadre législatif favorable afin d'orienter les industriels et proposer de vraies alternatives au mode de consommation actuel.

Un triste détail apparaît dans la série. M. Édouard Philippe, premier ministre (autrement dit chef du gouvernement) de la 7e économie mondiale cite régulièrement dans ses conférences à connotation environnementales le livre "Effondrement"/"Collapse" de Jared Diamond. Autrement dit, la personne responsable de notre avenir collectif, mais également celle qui a le pouvoir de changer réellement les choses ne prend pas les mesures à la hauteur des événements qui se profilent. Certes, quelques mesurettes sont prises çà et là, malheureusement insuffisantes et avec des délais d'applications à 2 ou 3 ans. De ses propres paroles : "une société qui ne se transforme pas prend le risque de s'effondrer". Force est de constater que l'immense majorité des personnes adultes censées être responsables (les 30 ans et plus) ne sont pas capable d'auto-régulation. Ce que nous avons fait depuis 50 ans qui est de miser sur le couple intelligence individuelle et progrès technique comme solution absolue est un échec.

Nous savons que le modèle économique actuel n'est pas viable ou le serait pour une population de quelques centaines de millions d'habitants tout au plus (et pas 7 milliards). Aujourd'hui, les centres de productions sont déportés sur la planète entière et les centres de consommation sont regroupés dans les zones urbaines. L'équilibre repose sur la capacité de fournir de l'énergie électrique pour faire fonctionner l'ensemble des machines qui nous entourent ainsi que d'assurer l'interconnexion des centres avec de l'énergie fossile. Le jour où cet équilibre est rompu, soit à cause d'un défaut externe (maladie, guerre, crise économique majeure), soit par un tarissement des ressources (effondrement en cascade de la biodiversité entraînant un défaut d'alimentation global, fin de la ressource pétrole), l'ensemble du monde industrialisé s'effondrera comme un château de carte. Les villes confortables (en France, 80% de la population habite en zone urbaine) qui auront été construites deviendront des pièges mortels sur fond de guerre civile pour la survie. Il ne sera pas possible d'enlever le béton pour y faire pousser des patates. Le pétrole, c'est le sang du monde moderne, lorsqu'il n'arrive plus à un organe, ce dernier meurt. Pourtant, nous continuons d'accélérer la croissance de ces unités rendant un retour en arrière chaque jour un peu plus difficile. Il serait temps d'ouvrir enfin les yeux, car il y a urgence.

Différents scénarios sont envisagés de part l'incertitude du facteur humain, du nombre gigantesque de variables dans l'équation, ainsi que du degré de confiance dans la capacité de résilience du monde vivant. En omettant le facteur de la fin du pétrole, selon les prévisions actuelles, les mécanismes irréversibles d'éffondrement écologiques dûs à la pollution et au réchauffement global de l'atmosphère devraient s'engager entre 2020 et 2030. Autant dire demain. Il n'y a qu'à voir les progrès que nous avons réalisés depuis 10 ans (~ 2007/2008) pour comprendre à quel point nous sommes lents à évoluer. Même en ayant des doutes sur certaines théories catastrophes extrêmes, il faut reconnaître que les signes d'une dégradation environnementale globale sont bien présents : tempêtes, ouragans, sécheresses, pollution atmosphérique, pollution des cours d'eau...

Ceux qui auraient aimés vivre (ou revenir) au temps des dinosaures pour voir comment c'était "avant", n'auront qu'à attendre un petit peu pour apprécier ce que des derniers ont pu ressentir lors de leur extinction.

C'est triste à dire, mais aujourd'hui, le seul moyen viable et humain pour limiter la sur-consommation des ressources naturelles reste d'imposer des quotas. Quotas sur tous les produits manufacturés, plus ou moins importants selon le degré d'utilisation des ressources naturelles (transport inclus) et de rejet de polluants. Quotas sur l'utilisation des climatisations individuelles. Quotas sur les transports de personnes (avions, bateaux, véhicules motorisés). Quotas sur l'importation de pétrole. Quotas sur la production d'énergie... Quotas lissés sur l'année pour éviter des périodes sèches trop importantes. Sans oublier les restrictions afférentes. L'imposition de créer des contenants ré utilisables et l'obligation faite aux industriels de les ré utiliser. Il faut également intégrer toutes ces problématiques environnementales dans le programme de l'éducation nationale et ce, dès le plus jeune âge, ainsi que faire de grandes campagnes de sensibilisation pour le grand public.

En ce qui concerne les produits audiovisuels diffusés gratuitement sur internet, j'ai plutôt tendance à payer si celui-ci me convient. Néanmoins, vu l'urgence de la situation actuelle et, parce qu'avec une contribution même minime de chacun, on arrive à faire de grandes choses, je participe à la campagne Tipee de la web série [ NEXT ], car il est important d'être informé. Nous connaissons les problèmes et les efforts à fournir pour redresser la situation. Chacun prendra ses responsabilités vis-à-vis de son avenir et de celui de ses enfants.

Huit ans

Saturday, 04 August 2018
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Écrit par
Grégory Soutadé

Gâteau 8 ans

Une bougie de plus pour le blog ! L'occasion de faire un nouveau bilan. Comme chaque année, le temps passe vite et le temps libre devient une ressource rare, dispersée entre le travail professionnel et les multiples activités. Du coup, ce sont les projets informatiques qui prennent du retard. J'ai particulièrement en tête la sortie de Pannous qui a pas mal traînée.

Contrairement à ce que j'avais pré annoncé l'année passée, il n'y a toujours pas de support IPv6, mais ça devrait être réglé d'ici la fin de l'année ! Si on regarde les statistiques, elles sont plutôt stables, avec un pic de connexions en janvier grâce mon vieil article fétiche : 1 message service reçu. La bande passante a bien diminuée car moins de photos en première page. Certes, il y a un petit peu moins d'articles publiés, mais certains sont vraiment conséquents et, même s'ils n'apparaissent pas dans le top 10, j'en suis assez fier. En parlant de chiffres et de fierté, à l'occasion du correctif 0.8.2 de gPass, j'ai jeté un oeil (par hasard) sur les statistiques d'utilisation de l'addon Chrome. Et quelle ne fût pas ma surprise de voir une moyenne de 168 utilisateurs quotidiens + une douzaine sur Firefox ! C'est un chiffre impressionant pour un projet sans pub (mis à part sur le blog), auto hébergé, sans instance centrale et à l'esthétique un peu vieillot (c'est à ça que l'on reconnaît la sécurité).

Les statistiques pour cette année (entre parenthèses, les années précédentes) :

  • 22 articles publiés (30, 31, 34, 49, 50, 60, 60)
  • 9 580 visites (9 510, 23 800, 21 300, 25 000, 12 000, 18 000, 9 000)
  • 12.5 Go de données envoyées (17, 17,9, 9, 5.5, 2.7, 2.5)
  • 19 887 pages affichées (20 180, 26 700)

Le fameux top 10 qui cumule pour cette année 38% des visites (en gras, consultation principalement pour les images. Entre parenthèses, l'année de publication) :

On notera deux entrées : l'astuce pour windows et la revue du Canon EOS M10 de janvier 2017 !

Quid de l'avenir ? Pas d'annonce cette année, ni de projet particulier à mener. Je pense avoir atteint un rythme de croisière et j'espère faire aussi bien (voir mieux) l'année prochaine !